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Federanim
Pour des professionnel·le·s de la relation d'aide, bien souvent, la peur ou l'angoisse sont présentes en toile de fond dans une série de difficultés que rencontrent les personnes auprès desquelles ils et elles travaillent (couple, éducation, relation au travail).
Vieillir fait partie de la vie. C’est un processus naturel qui implique de nombreux changements et d’importantes capacités d’adaptation. Au travers de sa campagne «65+ et santé mentale», santépsy.ch vise à promouvoir la santé mentale des seniors dans cette période de vie qui comporte plusieurs défis et la recherche de nouveaux repères.
En Suisse, la discrimination dans le monde du travail est courante. Les femmes gagnent en moyenne 19,5% de moins que les hommes ; les personnes LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels) subissent des discriminations directes et indirectes.
Pour tout·e professionnel·le, la qualité de ses relations avec les personnes accompagnées ou ses collègues est déterminante pour l’efficacité de son travail, pour le sens de ce dernier et pour son propre bien-être au travail. Mais comment faire pour avoir une bonne collaboration de travail alors que l’on ne se connaît pas forcément très bien, que l’on connaît encore moins l’autre et que les interactions se font dans des conditions de travail souvent stressantes ?
Beaucoup de travailleur·euse·s sociaux·ales travaillent pour des organisations privées qui proposent des prestations sociales réalisées sur commande et financement d’un tiers (assurances sociales, cantons, communes, etc.). Cela concerne la plupart des domaines du travail social: handicap, insertion professionnelle ou sociale, pauvreté, etc. Pourtant, cette configuration a des conséquences sur les pratiques du travail social, sur les conditions de travail et le fonctionnement de l’organisation.
Cette formation explore le thème de la créativité en apportant un regard nouveau sur le travail et le travail en groupe, et sur la manière d'aborder le changement en équipe.
Le sketchnoting et la facilitation graphique désignent l’association de l’image au texte ou l’utilisation du visuel pour transmettre un concept via le dessin.
Communiquer pour convaincre: dynamisme et professionnalisme distinguent la communication des institutions soucieuses de développer leurs relations, tant avec les publics internes qu’externes. Que ce soit envers vos bénéficiaires, vos partenaires financiers ou la population, une stratégie bien pensée est indispensable pour vous faire connaître, soigner votre image, susciter la confiance et, souvent aussi, pour mobiliser.
En tant qu'intervenant·e·s psychosociaux·ales, travailler avec un public sous contrainte ou «non demandeur» pose de nombreuses questions et difficultés: est-il possible de responsabiliser des gens sous contrainte ? Utopie ou réalité ? Comment se positionner entre l'aide psychosociale et le contrôle social ? Comment rester dans une relation d'aide et d'éducation, ni sauveur, ni moralisateur ?
Dans l'effervescence quotidienne du travail social, il est facile de se perdre dans le tourbillon des responsabilités, des dossiers qui s'accumulent et de la pression constante. Après plusieurs années dévouées à sa fonction, il peut arriver que l'on perde de vue le véritable pourquoi qui nous a initialement poussés à embrasser cette profession.
Ces deux journées de formation s’adressent aux professionnel·le·s de la relation qui cherchent un outil pour rendre leur intervention encore plus pertinente en s’engageant au cœur de la relation avec le ou la résident·e, dans le contexte institutionnel qui est le leur.
Selon la définition internationale du travail social, celui-ci «promeut le changement et le développement social, la cohésion sociale, le développement du pouvoir d'agir et la libération des personnes. Les principes de justice sociale, de droit de la personne, de responsabilité sociale collective et de respect des diversités, sont au cœur du travail social».
En Suisse comme partout, le numérique et les pratiques qui y sont liées sont omniprésents. Dans un monde qui évolue rapidement, tant technologiquement qu'en termes de codes/modes/usages/contenus, il devient de plus en plus difficile de s'orienter et de comprendre quelle place ou rôle nous pouvons encore prendre dans son environnement, en tant qu’individu, citoyen·ne ou travailleur·euse social·e.
Les personnes travaillant dans le secteur social (administrations, assistant·e·s social·e·s, éducatrices et éducateurs sociaux ou spécialisé·e·s, etc.) et les professionnel·le·s de santé sont régulièrement amené·e·s à interagir avec des personnes présentant un handicap de communication. Ce handicap peut avoir différentes causes comme les troubles du développement du langage, les troubles du langage acquis, les troubles du spectre de l’autisme, une paralysie cérébrale ou des troubles du développement intellectuel.
La Mort se présente sous des formes variées dans notre société actuelle, dans les institutions et organismes liés à la santé, au sein de notre histoire personnelle, notre famille, nos collègues. Elle nous ramène à notre impuissance, à l’injustice, à la perte, à notre finitude. Elle questionne sur le sens de la Vie, sur l’essentiel, sur la vulnérabilité de chaque Être et sur l’environnement dans lequel nous vivons.
En tant que professionnel·le·s de la relation d'aide, vous œuvrez au mieux-être de la population. Qu'en est-il de votre propre bien-être au travail ?
Vous supportez de moins en moins bien les contraintes et les pressions de votre environnement. Vous ne savez plus comment réagir aux phénomènes d'accélération, vous vous sentez débordé·e, ou vous cherchez vainement le sens de vos actions.
L’environnement du travail social est généralement marqué par l’incertain et l’inattendu. L’évolution des situations est difficilement prévisible. Les travailleuses sociales et les travailleurs sociaux doivent compter avec d’autant plus de surprises et de rebondissements que le réseau de soutien est large et ses intervenant·e·s nombreux et nombreuses. Dans ce contexte, il n’est pas simple de planifier l’intervention. Les objectifs fixés initialement peinent à lui donner une orientation durable.
Vous avez envie de changer de regard et d'attitude face à la réalité ?
(Re)devenez acteur·trice de votre vie professionnelle.
Cette formation sur la communication bienveillante se distingue par son approche intégrative des enseignements de la communication non violente (CNV), élaborée par Marshall B. Rosenberg, et de l'écoute active, inspirée des travaux de Carl Rogers et Thomas Gordon.
Les biais cognitifs sont des tendances de pensée qui deviennent de la rationalité objective, influençant notre perception et nos décisions de façon significative. Ces processus mentaux automatiques et inconscients simplifient et interprètent l'information de notre environnement.
Les jeux de pouvoir consistent à créer des relations basées sur la domination, afin d’obtenir quelque chose de l’autre contre son désir. Les jeux de pouvoir sont extrêmement répandus et particulièrement nocifs aux relations familiales, sociales ou professionnelles, entraînant des conflits et empêchant la coopération, l’authenticité et la créativité.
La charge mentale, c’est le fait de devoir penser en même temps à des éléments appartenant à des univers séparés physiquement. Ainsi, la charge mentale n’est ni un cumul ni une (simple) addition de tâches; ce n’est pas non plus vivre deux journées en une seule. C’est le fait de coexister dans deux mondes à la fois, c’est donc vivre en même temps deux charges.
Quelles sont les expériences vécues lors du Grand Âge, l’impact sur l’identité de la personne, sur sa relation à la vie, à sa vie, à son histoire personnelle, à sa place dans la société ?
Éducateur spécialisé de formation initiale, Tihamer Wertz intervient depuis de nombreuse années dans des contextes de travail sous contrainte, des interventions mandatées et/ou à destination de publics non volontaires.