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Pour tout·e professionnel·le, la qualité de ses relations avec les personnes accompagnées ou ses collègues est déterminante pour l’efficacité de son travail et le sens de ce dernier, mais aussi pour son propre bien-être. Mais comment établir de bonnes relations de travail alors que l’on ne se connaît pas forcément très bien, que l’on connaît encore moins l’autre et que les interactions se font dans des conditions de travail pas toujours choisies ?
Plus moyen d’avancer, ni même de reculer. La situation est sans issue, bloquée. Parfois depuis des mois, voire des années. Pourtant, elle a été retournée dans tous les sens, malaxée, triturée, analysée encore et encore. On ne voit pas, ou plus, de solution. Sentiment désagréable d’être au bout de son latin.
Les nouvelles précarités à Genève : quels enjeux, quelles réponses ? Qui est « précaire » ou « pauvre » dans le canton de Genève ? Qui est « éligible » aux prestations sociales ? Combien de personnes sont potentiellement concernées et ont recours aux prestations sociales existantes ? Et quid des personnes vivant dans notre canton mais qui n’ont pas droit à ces prestations – les « sans » (sans-abri, sans-domicile, sans-papier) – rendues soudainement très visibles par la pandémie Covid-19. Comment s’organise le secteur fondamental des institutions « bas seuil » pour leur venir en aide ?
Conduite de réunions collaboratives valorisant l’expertise des participant·e·s Comment conduire des réunions d’usagers, de quartier et des colloques d’équipe en faisant émerger l’intelligence collective ? A cet effet, pratiquons des outils tels que conduite d’espaces d’écoute, de parole et de lien, analyse de pratique, meta plan, ateliers de l’avenir, world café, médiation.
La charge mentale, c’est le fait de devoir penser en même temps à des éléments appartenant à des univers séparés physiquement. Ainsi, la charge mentale n’est ni un cumul ni une (simple) addition de tâches; ce n’est pas non plus vivre deux journées en une seule. C’est le fait de coexister dans deux mondes à la fois, c’est donc vivre en même temps deux charges.
Penser en corps: le Théâtre de l'opprimé au service du pouvoir d'agir. Nul besoin d’être comédien pour y participer. Le principe même du Théâtre de l’opprimé créé par Augusto Boal est fondé sur le fait que « Tout le monde est théâtre ». C’est-à-dire que chaque personne, de là où elle se trouve peut devenir acteur du jeu, de la scène et donc, de sa vie.